Nantes en commun·e·s, c’est la plateforme pour nous réapproprier la ville et nos vies.

Pour renforcer notre autonomie politique au niveau local, nous voulons nous auto-organiser et construire un commun politique qui fasse du lien entre les associations, les syndicats et les collectifs d’habitant.e.s. Faire émerger une politique du quotidien passe par l’acquisition collective de connaissances sur nos lieux de vie, par la mise en réseau et en débat avec des dynamiques similaires dans le monde et la stimulation concrète de communs sur le territoire.

Ce qui se fait ailleurs

Barcelone, Saillans, Notre-Dame-des-Landes : quelques exemples emblématiques…

Par exemple, au nord de Nantes, des paysans ont repris la main sur leur territoire pour y favoriser une agriculture saine, la biodiversité et des modes de vie adaptés à ces défis. Aujourd’hui, ielles encouragent les habitants du territoire à les soutenir pour définir en commun l’avenir de la zone.

A Barcelone, les habitants et les associations, lassés de perdre leur droit au logement au profit de la spéculation immobilière, se sont révoltés contre les expulsions. Aujourd’hui, tous les quartiers de la ville se sont rassemblés pour contrôler les institutions en commun.

Dans le même élan, lorsque les habitants de Saillans se réapproprient leur village et lorsque les collectifs féministes luttent contre le harcèlement de rue, ils transforment les espaces publics en lieux de vie que les habitants peuvent modeler en commun. 

Ce qu’on veut construire

Nous voulons construire un écosystème local autonome,

Ce à quoi on s’oppose

Nous voulons résister à la marchandisation croissante de nos villes en nous réappropriant nos vies, par des actions et des décisions communes.

Nous refusons que nos villes et nos vies soient placées entre les mains d’expert et nous échappent.